Dans les années 50, après avoir régné sur le marché de la production d’autobus au Québec, l’entreprise Prevost de Ste-Claire est au bord de la faillite. Son fondateur Eugène Prévost se retrouve devant un choix difficile : céder son entreprise à qui saura la relancer ou risquer la fermeture. Quarante ans plus tard, quand une discrète chaîne de lingerie ontarienne nommée La Vie en Rose n’arrive plus à faire ses frais, François Roberge en fait l’acquisition et mise tout sur sa vision.